Etant passé maitre dans l’art de la métaphore, je ferais ce dernier texte aussi simpliste que possible.
Une nuit de pleine lune, au crépuscule lointain,
Quatre encapuchonné discutaient en vain,
Autour du feu, leur visage était sombre,
Un R, un A, un E et un C inscrit sur leur habits, étaient visible dans l’ombre.
Ils étaient réunis autour d’un boléro enflammé,
Un homme, ligoté, couché juste à coté,
Était lorgnés par les 4 comparses,
Le hululement des hiboux entouraient cet harse.
Les hommes tenaient chacun dans leurs mains,
Un bout de métal, dangereux et mortel,
Figure de mort, de larme et de bordel,
Était ankylosé, dans une indifférence hors du commun.
Le premier leva son arme, une fière épée,
Emblème de la justice, et du sang coulé,
Avait un visage d’ange et des yeux bleutés,
Synonyme du renouveau, de promesses formulées.
Le second leva une hallebarde de célérité,
Symbole de la protection et de la fermeté,
L’homme avait un visage calme et posé,
Les formes d’un homme sur qui on peu compté.
Le troisième leva un marteau,
Emblème du futur et de la civilisation,
Ses traits étaient creusés et fatigués,
Le genre de visage de quelqu’un qui a beaucoup travaillé.
Le dernier enfin leva un parchemin,
Marque d’homme civilisé et érudits,
Ses traits étaient ceux de la compréhension et l’équité,
Le visage de quelqu’un avec qui on peu parler.
Le dernier homme ouvrit son papier,
Et d’une profonde inspiration, récita ce qui était noté
« Vous n’avez pas pu labourer tous les champs que l’on vous a confié,
Il en reste quelques hectares qu’on ne pourra pas récolté »
L’homme au marteau brisa une jambe à l’homme attaché,
En s’écriant que sa paresse était condamnée,
Il n’avait pas passé assez de temps à travailler,
Il avait fait perdre quelques blés à la communauté.
L’homme à la hallebarde lui transperça l’épaule,
En soufflant qu’il fût nuisible et dangereux,
Qu’il n’avait plus qu’à s’endormir sous un saule,
Et que sa vie s’achèverait sous leurs pieux.
Le premier homme enfin lui fendit le visage,
Lui laissant une cicatrice défigurable,
En criant qu’il n’avait pas écouté,
Et que son travail était à présent raté.
L’homme blessé, enfin fit tomber son bâillon.
« Vous êtes prompts cher maitre, pour la moisson,
A présent je suis borgne et les jambes brisés.
Comment pourrais-je récolté, ce que j’ai semé ?
Cela fait longtemps, que je ne vous ai vu,
A présent puni, pour quelques hectares échus,
Alors que des centaines sont prêtes à être récolté,
Et qu’il y en aura, pour tout le monde, bien assez.
Je n’ai pas eu le temps, de tout moissonner,
Je l’admets, oh maitres vengeurs aux armes ensanglantés,
Peut-être auriez-pu m’aider, pour ses graines les planter,
Mon labeur aurait été plus doux, les terrains depuis longtemps terminé.
Auriez-vous oublié, que de 24 heures est faite une journée ?
Aurais-je du ne pas dormir, ou être surhumain,
Moi qui ne suis qu’un homme, pourvu de deux mains,
Ou peut-être n’ais-je pas eu les machines pour labourée ?
A présent je ne peux plus bouger, et serait ce soir enterré.
Qui récoltera de nous 5, tout ce que j’ai semé ?
Vous avez brillé de vos absences, sauf pour la récolte.
Abattez-moi je vous prie, que mon salut résonne.
La moisson
Une nuit de pleine lune, au crépuscule lointain,
Quatre encapuchonné discutaient en vain,
Autour du feu, leur visage était sombre,
Un R, un A, un E et un C inscrit sur leur habits, étaient visible dans l’ombre.
Ils étaient réunis autour d’un boléro enflammé,
Un homme, ligoté, couché juste à coté,
Était lorgnés par les 4 comparses,
Le hululement des hiboux entouraient cet harse.
Les hommes tenaient chacun dans leurs mains,
Un bout de métal, dangereux et mortel,
Figure de mort, de larme et de bordel,
Était ankylosé, dans une indifférence hors du commun.
Le premier leva son arme, une fière épée,
Emblème de la justice, et du sang coulé,
Avait un visage d’ange et des yeux bleutés,
Synonyme du renouveau, de promesses formulées.
Le second leva une hallebarde de célérité,
Symbole de la protection et de la fermeté,
L’homme avait un visage calme et posé,
Les formes d’un homme sur qui on peu compté.
Le troisième leva un marteau,
Emblème du futur et de la civilisation,
Ses traits étaient creusés et fatigués,
Le genre de visage de quelqu’un qui a beaucoup travaillé.
Le dernier enfin leva un parchemin,
Marque d’homme civilisé et érudits,
Ses traits étaient ceux de la compréhension et l’équité,
Le visage de quelqu’un avec qui on peu parler.
Le dernier homme ouvrit son papier,
Et d’une profonde inspiration, récita ce qui était noté
« Vous n’avez pas pu labourer tous les champs que l’on vous a confié,
Il en reste quelques hectares qu’on ne pourra pas récolté »
L’homme au marteau brisa une jambe à l’homme attaché,
En s’écriant que sa paresse était condamnée,
Il n’avait pas passé assez de temps à travailler,
Il avait fait perdre quelques blés à la communauté.
L’homme à la hallebarde lui transperça l’épaule,
En soufflant qu’il fût nuisible et dangereux,
Qu’il n’avait plus qu’à s’endormir sous un saule,
Et que sa vie s’achèverait sous leurs pieux.
Le premier homme enfin lui fendit le visage,
Lui laissant une cicatrice défigurable,
En criant qu’il n’avait pas écouté,
Et que son travail était à présent raté.
L’homme blessé, enfin fit tomber son bâillon.
« Vous êtes prompts cher maitre, pour la moisson,
A présent je suis borgne et les jambes brisés.
Comment pourrais-je récolté, ce que j’ai semé ?
Cela fait longtemps, que je ne vous ai vu,
A présent puni, pour quelques hectares échus,
Alors que des centaines sont prêtes à être récolté,
Et qu’il y en aura, pour tout le monde, bien assez.
Je n’ai pas eu le temps, de tout moissonner,
Je l’admets, oh maitres vengeurs aux armes ensanglantés,
Peut-être auriez-pu m’aider, pour ses graines les planter,
Mon labeur aurait été plus doux, les terrains depuis longtemps terminé.
Auriez-vous oublié, que de 24 heures est faite une journée ?
Aurais-je du ne pas dormir, ou être surhumain,
Moi qui ne suis qu’un homme, pourvu de deux mains,
Ou peut-être n’ais-je pas eu les machines pour labourée ?
A présent je ne peux plus bouger, et serait ce soir enterré.
Qui récoltera de nous 5, tout ce que j’ai semé ?
Vous avez brillé de vos absences, sauf pour la récolte.
Abattez-moi je vous prie, que mon salut résonne.