Combien j’aurais aimé, à l’ombre des arcades
Venir me reposer en guettant ton retour
Les oiseaux alentour donnant la sérénade
Alors que se mourrait tout doucement le jour
Je t’aurais attendu, environnée de roses
Prestement détournées des tonnelles fleuries,
Fusillant du regard le promeneur qui ose
Accuser de larcin un désir interdit
Dans la douce torpeur, au seuil du crépuscule,
Dans un jardin gorgé de parfums délicats,
Aller me balancer, sans être ridicule,
Et refermer les yeux, entourée de tes bras….
Venir me reposer en guettant ton retour
Les oiseaux alentour donnant la sérénade
Alors que se mourrait tout doucement le jour
Je t’aurais attendu, environnée de roses
Prestement détournées des tonnelles fleuries,
Fusillant du regard le promeneur qui ose
Accuser de larcin un désir interdit
Dans la douce torpeur, au seuil du crépuscule,
Dans un jardin gorgé de parfums délicats,
Aller me balancer, sans être ridicule,
Et refermer les yeux, entourée de tes bras….