Dans l'ombre de ma demeure en déclin,
Un jeune cœur, triste, songe sans fin.
Les murs, témoins muets de la détresse,
Écroulent l'amour, laissant place à la tristesse.
Les rires d'autrefois, échos lointains,
S'effacent devant des lendemains incertains.
Le foyer jadis flamboyant, réduit en cendres,
Emporte avec lui les promesses tendres.
Les éclats de bonheur, doucement s'éteignent,
Dans l'obscurité, les espoirs se désigne.
Le jeune homme, las, perd sa foi en l'union,
Les rêves d'amour se noient dans l'illusion.
Les murailles familières, maintenant hostiles,
Témoignent de la chute, des rêves fragiles.
L'âme ébranlée, l'élan vers l'amour s'amenuise,
L'ombre persistante dans le cœur s'épuise.
Dans ce foyer déchu, une lueur persiste,
La solitude choisie, ultime résistance.
Le jeune homme, étreint par l'indifférence,
Se retire, renonçant à la danse des promesses.
Ainsi, dans le silence, l'envie s'efface,
Le jeune homme triste se perd dans l'espace.
Un cœur meurtri, blessé par la déroute,
Cherche la paix dans une solitude absolue.
Un jeune cœur, triste, songe sans fin.
Les murs, témoins muets de la détresse,
Écroulent l'amour, laissant place à la tristesse.
Les rires d'autrefois, échos lointains,
S'effacent devant des lendemains incertains.
Le foyer jadis flamboyant, réduit en cendres,
Emporte avec lui les promesses tendres.
Les éclats de bonheur, doucement s'éteignent,
Dans l'obscurité, les espoirs se désigne.
Le jeune homme, las, perd sa foi en l'union,
Les rêves d'amour se noient dans l'illusion.
Les murailles familières, maintenant hostiles,
Témoignent de la chute, des rêves fragiles.
L'âme ébranlée, l'élan vers l'amour s'amenuise,
L'ombre persistante dans le cœur s'épuise.
Dans ce foyer déchu, une lueur persiste,
La solitude choisie, ultime résistance.
Le jeune homme, étreint par l'indifférence,
Se retire, renonçant à la danse des promesses.
Ainsi, dans le silence, l'envie s'efface,
Le jeune homme triste se perd dans l'espace.
Un cœur meurtri, blessé par la déroute,
Cherche la paix dans une solitude absolue.